Nos engagements

Conscient de l’impact de la vente des véhicules à moteur sur le climat et avec l’appui de ces sociétés, ORTIN 96 HOLDING s’engage depuis des années dans la lutte contre le réchauffement climatique, d’abord en finançant des campagnes dédiés à la limitation des rejets de CO2 puis actuellement en soutenant les programmes de Reforest’ACTION.


PLUS DE 20 HECTARES DE FORÊTS RESTAURÉES GRÂCE A NOTRE ENGAGEMENT !


Suivez l’évolution de la plantation de nos arbres sur notre page : Reforest’ACTION / Ortin 96 Holding

20.583 arbres plantés font une belle forêt et surtout de beaux co-bénéfices :


Situé dans la forêt subtropicale de la région de Cusco, au Pérou, le projet mené par l’association Pachamama Raymi vise à restaurer 300ha dans 9 villages du district d’Echarati. Ce projet bénéficiera à 300 familles par l’amélioration de leurs conditions économiques et environnementales.

Le contexte du projet

Dans la province de Convención, la déforestation liée aux coupes intensives de bois et à l’exploitation agricole continue de faire rage. De plus, les pénuries d’eau, les incendies ou encore l’état de dégradation avancé des sols contribuent à la destruction du couvert végétal de cette région aussi particulièrement touchée par la pauvreté.

Ce projet financé par Reforest’Action et mené sur le terrain par l’association Pachamama Raymi vise à recréer un paysage social, environnemental et économique pérenne, propice à la préservation de la biodiversité et de la lutte contre le dérèglement climatique. Les arbres sont plantés au sein de parcelles de forêts dégradées afin de donner vie à des peuplements résilients, compatibles avec la mise en place d’une exploitation durable de bois. Ce reboisement permettra de réintroduire des essences natives précieuses ou en voie d’extinction telles que le cèdre, l’acajou, le noyer ou encore le tornillo. 

Fruit d’un travail communautaire mobilisant les populations locales, cette démarche permettra également de développer de nouvelles sources de revenus pour les familles, grâce à la commercialisation des fruits issus d’arbres introduits sur des parcelles agricoles. Des actions centrées autour de la nécessaire préservation des forêts, de la création de richesse fondée sur les produits issus de la nature ainsi que l’adoption de pratiques agricoles durables sont également menées sur place dans le cadre de ce projet à portée environnementale et sociale. 

Le projet de plantation

300 000 arbres de 17 essences sont plantés au sein de neuf villages sur un an par les techniciens issus des communautés locales et formés par Pachamama Raymi. Pour mener à bien ces démarches, des comités forestiers sont formés pour renforcer l’organisation communautaire sur place. 

L’aspect social est l’une des pierres angulaires du projet. Ainsi, des ateliers d’échange d’expérience entre familles bénéficiaires de ce projet ou de projets de restauration et d’agroforesterie précédents sont organisés. Sur le plan éducatif, la formation des jeunes à la restauration de la forêt subtropicale et la préservation de la biodiversité est encadrée et accompagnée. 

 


Au cœur de la région de Piura, au nord du Pérou, notre projet de reboisement vise à planter 1 800 000 arbres afin de restaurer les sols dégradés et lutter contre la désertification. La plantation de forêts permettra de limiter l’érosion et d’apporter une source de revenus complémentaires aux habitants de la région.

Le contexte du projet

La région de Piura, située au nord du Pérou, abrite des forêts sèches principalement composées de savanes arbustives. Le climat y est extrêmement aride et les communautés locales sont affectées par de fréquentes pénuries d’eau. Les sols secs sur lesquels vivent les populations d’éleveurs et d’agriculteurs sont menacés par la désertification. Celle-ci est accélérée par les coupes illégales de bois qui amputent les forêts de 3000 hectares chaque année. Dans ce contexte, les communautés locales cherchent à reboiser leurs terres afin de limiter l’érosion des sols et de créer une source de revenus supplémentaires. Entre décembre 2019 et avril 2021, 1 000 000 arbres ont été plantés par les communautés locales, grâce au finacement de Reforest’Action et au support technique de notre partenaire local, Progreso. En décembre 2021, une nouvelle saison de plantation s’ouvrira avec pour objectif de planter 800 000 nouveaux arbres d’ici avril 2022.

Un partenariat entre Reforest’Action et l’ONG Progreso

Reforest’Action s’associe à l’ONG péruvienne Progreso, dotée de plus de 25 ans d’expérience dans le développement de systèmes agroforestiers, et qui travaille main dans la main avec les gouvernements des districts locaux et les communautés paysannes. Progreso assurera également le suivi des arbres et la sensibilisation des villageois à l’agriculture durable et à l’importance de préserver les forêts.

Les communautés locales associées au projet

Le financement de Reforest’Action vient répondre à une demande très forte de la part des populations et des municipalités locales, qui cherchent à reboiser leurs terre afin de protéger leurs ressources en eaux et générer une source de revenus grâce à la vente de produits issus des arbres. L’objectif est de créer des forêts dans une vingtaine de villages, situés au sein des massifs montagneux des districts de Huarmaca et de Pacaipampa. Les arbres seront ainsi plantés au sein des massifs montagneux eux-mêmes, ou bien au sein des champs cultivés des producteurs locaux de haricots, de pois ou de pastèques. Créées au cœur du bassin versant du fleuve Piura, ces forêts auront un impact direct sur la restauration des écosystèmes de la région et sur la protection des sources d’eau qui abreuvent les villages alentours. Plus de 1500 familles sont affiliées au projet. Elles contribueront à la plantation et à l’entretien des arbres, et seront sensibilisées par Progreso à l’agriculture durable et à la protection de leurs forêts.

Les essences plantées sur le projet

Une grande diversité d’essences est plantée sur le projet :

  • Le cèdre-acajou, le mahogany à grandes feuilles et l’aulne des Andes : ces essences indigènes seront plantées sur les massifs montagneux afin de restaurer leur sol et leur biodiversité ; à maturité, leur bois, prisé pour sa qualité, sera exploité de façon durable comme bois d’œuvre et permettra, par sa vente, de générer des revenus complémentaires pour les agriculteurs, qui souffrent aujourd’hui du faible rendement de leurs cultures. Par ailleurs, le cèdre-acajou et le mahogany à grandes feuilles figurent sur la liste rouge de l’UICN comme essences vulnérables.
  • Le saule de Humboldt et le noyer sylvestre : ces essences, indigènes également, sont dotées de propriétés médicinales ; elles viendront enrichir les forêts créées en diversité.
  • Le pin argenté : cette essence, originaire du Mexique, est précieuse à la restauration du sol grâce à l’épais matelas d’aiguilles qui se constitue à ses pieds et qui limite son érosion. Plantée en agroforesterie dans les champs des cultivateurs, cet arbre est également utile pour briser le vent et apporter de l’ombrage aux cultures sous-jacentes.
  • L’eucalyptus saligna : cette essence à croissance rapide permettra aux villageois de se fournir en bois de chauffe à partir de ses branches tandis que l’arbre continuera à grandir, et détournera ainsi les populations locales de la coupe de bois dans les forêts subsistantes.
  • Le romerillo : cet arbuste indigène est doté de propriétés mellifères ; il permettra de développer la biodiversité et notamment la présence d’insectes pollinisateurs, et de produire du miel à partir de ses fleurs, qui sera consommé directement ou vendu sur les marchés locaux.

Les bénéfices du projet

  • Protection des ressources en eau : la porosité permise par l’activité organique du sol forestier (racines, microfaune, champignons) va permettre de réduire le ruissèlement des eaux sur les massifs montagneux et va absorber les pluies afin de mieux alimenter les nappes souterraines.
  • Restauration des sols et lutte contre l’érosion : l’apport de matière organique au sol grâce à la chute et à la décomposition des branches et des feuilles des arbres plantés augmentera les nutriments disponibles dans le sol, ce qui rendra les terres plus fertiles pour les cultures vivrières des communautés locales. Par ailleurs, les branches et les feuilles des arbres vont intercepter la pluie sur les pentes des montagnes, empêchant ainsi son ruissellement, cause de l’érosion des sols.
  • Création d’habitats pour la biodiversité : les forêts plantées accueilleront au fil des années une faune sauvage accrue, qu’elle soit locale ou migratrice.
  • Génération de bois d’oeuvre et de chauffe : gérées durablement par notre partenaire Progreso, ces forêts permettront de produire du bois pour l’usage personnel des communautés locales ou pour la génération de revenus complémentaires grâce à sa vente.
  • Sensibilisation des populations locales au développement durable et à la protection des forêts


Reforest’Action s’associe à la Société des Amis d’Usambara, une ONG tanzanienne dont l’objectif est de préserver la très riche biodiversité animale et végétale des monts Usambara, par la plantation d’arbres et la conservation des sources en eau des réserves naturelles de Magamba, Yoghoi-Irente et Jegestal. Reforest’Action finance ainsi la plantation de 500 000 arbres pour la saison 2019-2020, sur un objectif total de 15 millions d’arbres visé par l’ONG. Les arbres prendront racines dans la réserve naturelle de Magamba, au Nord-Est du pays, à proximité de la frontière kenyane. L’objectif de ce projet ? Restaurer la biodiversité des monts Usambara, sensibiliser les populations locales à l’importance des forêts et de l’agroforesterie, et les accompagner dans la gestion durable de leurs arbres.

 

Les populations locales associées au projet

Au travers de ce projet de reforestation, 204 villages et leurs habitants sont mobilisés pour la mise en pépinières des jeunes pousses lors des saisons sèches (janvier-février et septembre-octobre) et pour la plantation des arbres le reste de l’année. Les pépinières sont installées au sein de 4 écoles et participent au programme scolaire d’éducation à la protection de la forêt que reçoivent les écoliers associés au projet. Elles servent ainsi de véritables laboratoires de science pour les élèves, qui sont initiés à la protection de l’environnement, à la botanique et à l’horticulture, et mettent leurs cours en application en participant aux travaux au sein des pépinières. Après la plantation, les arbres sont suivis par les experts de la Société des Amis d’Usambara pour s’assurer de leur bonne croissance.

Les essences plantées sur le projet

Plus d’une dizaine d’essences sont plantées sur le projet :

  • Le ficus, le cèdre acajou, le chêne soyeux et le tulipier africain, des essences de haut-jet qui seront plantées au cœur des forêts existantes de la réserve naturelle de Magamba afin de restaurer leur sol, leur couvert et leur biodiversité ;
  • Le pommier, le pêcher, l’avocatier, le poirier, le prunier, le moringa et le macadamia, des essences fruitières qui seront plantées en agroforesterie, sur les parcelles des cultivateurs, afin de protéger les cultures sous-jacentes et de fournir aux populations locales des revenus complémentaires issus de la vente de leurs fruits et graines ;
  • L’Albizia Shimperiana et le Croton Megalacapus, des essences à croissance rapide, qui permettront de mettre à disposition des communautés une ressource en bois durablement gérée afin d’éviter les coupes au sein des forêts existantes.

Les bénéfices du projet

De nombreux bénéfices sont attendus :

  • Restauration de la biodiversité des monts Usambara, l’un des hotspots de la biodiversité mondiale
  • Préservation du bassin hydrographique de Lushoto Jegestal, qui alimente plus de 20 000 personnes en eau dans les monts Usambara et la ville de Lushoto
  • Création d’un revenu complémentaire pour les populations locales grâce à la vente des fruits et des graines des arbres plantés en agroforesterie
  • Sensibilisation des populations locales au développement durable et à la protection des forêts via l’implication des écoliers dans le programme de reforestation

Nos anciens engagements


WWF

Accélérer la transition écologique face à l’urgence climatique

Pour et avec tous, il est temps de s’engager dans la transition écologique vers un avenir durable et résilient afin de contenir le dérèglement climatique en dessous de 1,5°C. Celle-ci présente de multiples bénéfices et de nombreuses opportunités pour les villes, les citoyens et les entreprises.

Depuis maintenant plus de 40 ans, les demandes de l’humanité sur la nature ont dépassé les capacités de la planète à se régénérer. L’empreinte carbone liée aux gaz à effet de serre des activités humaines relâchées dans l’atmosphère n’a cessé de s’accroître sur cette période. Elle constitue aujourd’hui de loin la principale composante de l’empreinte écologique de l’humanité, dépassant les capacités d’absorption des océans et des forêts et conduisant à un dérèglement climatique majeur.

Avec près de 1°C de hausse de la température moyenne mondiale depuis l’ère pré-industrielle, les conséquences et les impacts sont déjà visibles. Tout doit être ainsi fait pour réussir à le contenir en dessous de 1,5°C, point de bascule pour la survie de nombreux écosystèmes et de populations vulnérables.

Face à l’urgence climatique, le WWF pousse une transition écologique visant à transformer notre production et consommation d’énergie vers des modèles renouvelables et efficaces, à avancer une économie neutre en carbone et durable, à réinventer nos villes et à amorcer notre adaptation. Le WWF France est d’ailleurs membre du Réseau Action Climat (RAC) et participe ainsi activement au travail du réseau avec les autres associations environnementales.

Les signaux de mobilisation et d’action climatique à l’œuvre pour avancer dans cette voie sont plus que jamais visibles à toutes les échelles. Il nous reste maintenant collectivement à les amplifier rapidement.

 

Lutter contre le dérèglement climatique

Lutter contre le dérèglement climatique

  • Contenir le dérèglement climatique bien en dessous de 2°C afin d’éviter tout point de non-retour selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat)
  • Réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 2020, la construction de sociétés durables et neutres en carbone d’ici 2050 et la mise en place de mesures d’adaptation au dérèglement

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GoodPlanet


REFORESTATION COMMUNAUTAIRE EN COLOMBIE

Avec le programme Action Carbone de la fondation GoodPlanet

CONTEXTE
La Sierra Nevada de Santa Marta, située dans le Nord de la Colombie, est une montagne haute de 6 000 mètres considérée comme l’une des régions les plus riches au monde en termes de biodiversité. Elle est également l’habitat des Indiens Kogis, derniers héritiers des grandes sociétés précolombiennes du continent sud américain.
Du fait de la conversion en terres de culture et d’élevage, de l’exploitation des bois précieux et de la pression touristique, la Sierra Nevada de Santa Marta a perdu 78 % de sa couverture forestière en 30 ans.

PROJET
Le projet consiste à racheter les terres ancestrales des communautés Kogis et à leur restituer afin de permettre la régénération des écosystèmes forestiers et de la biodiversité locale grâce à leur savoir-faire traditionnel.
Le projet s’inscrit aujourd’hui dans un large programme dit « Mendihuaca » qui a pour objectif l’acquisition de 1 000 ha de terres à l’horizon 2012-2014.

BENEFICES
Amélioration de la fertilité des terrains grâce à la réduction de l’érosion et l’accumulation de matière organique.
Meilleure régulation des régimes des cours d’eau grâce à l’installation des plantations.
Restauration progressive de la biodiversité (faune et flore)
Lutte contre le changement climatique grâce au stockage de carbone permis par le retour de la végétation.
Sécurisation des habitats traditionnels des Indiens Kogis par la possession en pleine propriété des terrains.